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A la suite de l'album Un peu de Paris, où il donnait de Paris une vision empreinte de tendresse souriante et de nostalgie, J.-J. Sempé revisite la France rurale.

Le crayon de Sempé croque avec délicatesse les instants d'intimes poésies de ses contemporains.

Le dessinateur croque les couacs visuels des concerts.

Fruit d'un travail d'une trentaine d'années, Sempé livre ici ses dessins sur Paris, où il démarra en 1960 la série «Le Petit Nicolas» avec Goscinny, avant de publier une vingtaine d'albums.

Le dessinateur brosse un portrait humoristique de l'amitié, qu'elle soit tendre, fausse ou sincère.

Sempé croque les enfants, leurs géniteurs et leurs nounous.

Des dessins illustrant quelques réflexions philosophiques que chacun peut proférer dans la vie quotidienne.

Une sélection de dessins repris d'albums parus antérieurement et dans lesquels les personnages éprouvent un optimisme parfois excessif.

Pour le plaisir des petits et des plus grands.

D'après le papa de Nicolas, entre voisins, il faut s'entraider. C'est sans doute pour ça qu'il aime tant taquiner M. Blédurt, qui habite la maison d'à côté. Et ce n'est pas M. Courteplaque, le nouveau voisin, qui dira le contraire, surtout depuis que le papa de Nicolas l'a apprivoisé. M. Courteplaque, c'est le papa de Marie-Edwige, qui est une fille et qui est très chouette, comme voisi...

La maîtresse est inquiète, le photographe s'éponge le front, le Bouillon devient tout rouge, les mamans ont mauvaise mine, les papas font les guignols, le directeur part à la retraite, quant à l'inspecteur, il est reparti aussi vite qu'il était venu. Pourtant, à l'école ou en famille, Geoffroy, Agnan, Eudes, Rufus, Clotaire, Maixent, Alceste, Joachim... et le Petit Nicolas sont presque ...

Ce qui est bien à Noël, c'est qu'il y a tout un tas de choses à faire à la maison : maman prépare un dîner terribe. Papa a fait une chouette étincelle en décorant le sapin avec les petites ampoules qui brillent et après il a dit un gros mot. M. Blédurt rigole beaucoup et maman trouve que ça n'avance pas trè...

Dans les années 1960, Nicolas vit avec son papa et sa maman. En classe, il a toute une bande de copains : Alceste, qui mange tout le temps, Rufus, le fils du policier, Clotaire, qui a la télévision. Il raconte son quotidien avec son langage, celui d'un enfant de 8 ans. Les 28 planches dessinées dans les années 1960, pour le journal "Le Moustique".

The entire collection of the New Yorker's covers of JJ, among which are many unpublished drawings, is now available for the first time. Complete with a long interview where he tells about his wondering though the big apple in search of inspiration and when and how he discovered the existence of The New Yorker---this legendary, far, charming magazine. Masterpieces of the ephemeral, Sempé's drawings are made of little more than nothing. The rich...

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Wie erreicht Sempé diesen Schwebezustand zwischen Traum und Alltäglichem? Wie gelingt es ihm, dass sich seine Figuren den Gesetzen der Schwerkraft zu entziehen scheinen? Anhand der Skizzen erahnen wir, dass der Weg von der Inspiration bis zur fertigen Zeichnung immer auch ein Herantasten ist, ein Suchen und Träumen.

1978 erscheint die Zeitschrift >The New Yorker< erstmals mit einem Cover von Sempé. Für jeden Karikaturisten ist dies die höchste Weihe. So auch für Sempé, der darin schon als Jugendlicher die großen amerikanischen Zeichner entdeckt hatte, von Saul Steinberg bis William Steig. Bis zu seinem Tod hat Sempé über hundert Cover für den >New Yorker< gezeichnet. Und man kann ohne Übertreibung sagen: Sempé wäre nicht Sempé ohne den >New Yorker<, und d...

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