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Voici le tram et ses rencontres fortuites, le hall de gare et sa «messagère ange / au fauteuil roulant», les quais et les trains qui arrivent et qui partent… Autant de lieux de passage chers à Markus Hediger et que nous retrouvons dans son nouveau recueil de «romésie». «Dans le cendrier du temps», à côté des figures emblématiques de l’enfance co...

Dar la vuelta a la piedra toma a la cochinilla como metáfora del oficio del poeta, tal como refleja el poema que da título al libro: «No deis la vuelta / a la piedra con su misterio / legado por la luna. // No, nada toquéis, / el ojo sol me espantaría, / soy ciudadano / de Reverso, soy la cochinilla». Porque el poeta, al igual que el insecto que excava la tierra sin tregua , ...

Entre roman et poésie, ce recueil de "romésies" évoque la douleur de l'absence.

Ein Schweizer Schriftsteller wandert nach Brasilien aus. Mit seiner Familie will er in dem Land, in dem er aufgewachsen ist, an geliebte Jugenderinnerungen anknüpfen. Zudem erhofft er sich, dass mit der Rückkehr in seine frühere Heimat sich auch endlich der schriftstellerische Erfolg einstellt. Unglücklicherweise ziehen auch gescheiterte Ideen und Figuren mit ihm um und mischen sich dort in sein Leben ein. Ein Verbrechen geschieht. Mehr und me...

Chez moi, dans mon bureau-chambre, volets clos. Et dehors c’est l’automne, peut-être, et peut-être sommes- nous un jeudi de pluie en avril. Sur ma table la lampe allumée. La journée en silencieux, les nuits en solitaire. Où sont ceux qui se disaient mes amis ? Et dedans la pénombre et toi, toi depuis si longtemps perdu de vie.

Alice est rentrée de son voyage aux merveilles. Sa main, si petite, immobile et transparente, a délivré les nuages, a jeté le pain sur l'eau. - Mes livres, dit-elle, oh! je m'en souviens à peine... Alice, entourée de compagnes centenaires ou presque, le jour de ses quatre-vingt-treize ans, devant le miroir attend, souriante elle attend, déjà gantée d'invisible.

VIII Puis j’ai soulevé la pierre et je l’ai retournée, un clair soir de printemps. Pas de cloporte fuyant affolé mais l’œil humide, noir d’une ombre qui me regardait. VIII Dann hob ich ihn auf, den Stein, und drehte ihn um, eines Abends im Frühjahr. Keine Assel, die kopflos floh, sondern ein feuchtes Schattenauge starrte schwarz mich an.